• Le piège du libre arbitre !

    PARABOLE SUR LE SERVITEUR INUTILE

    Le piège du libre arbitre !


    Je rends grâce à Dieu notre Seigneur pour nous avoir choisis et nous avoir sortis du milieu des ténèbres pour avoir héritage avec les saints dans le Royaume du Fils de Son Amour. A Lui seul soit la gloire et la grâce par Jésus-Christ Notre Sauveur.
    Je tiens aussi à vous saluer, aux frères, aux sœurs et à tous et à toutes : que la grâce de Dieu le Père et du Seigneur Jésus-Christ soit avec vous !

    Par la grâce de Dieu, je souhaitais vous présenter une parabole afin que vous vous connaissiez tel que vous êtes, sans feinte et aussi, vous voyiez l’infinie richesse de la grâce de Dieu envers vous dans le Christ!
    Toute la doctrine du Christ y est aussi présentée !
    Pour la saisir, comprend cette parabole :

    Un instrument c'est-à-dire la houe peut-il faire quelque chose d’elle-même ?
    Peut-elle exécuter le travail du champ sans que le Maitre ne se serve d’elle?
    Peut-elle faire quelque chose ou un effort pour bien exécuter le travail du champ ? Est-ce possible ?

    Le Maitre du Champs n’est-il pas aussi le Maitre de la houe ?
    La houe peut-elle se vanter du travail fait dans le champ?
    N’est-ce pas qu’elle n’est qu’un simple instrument dans la main du Maitre ?

    A qui reviennent l’honneur et le mérite du grand et bon travail du champ ? A la belle houe ou à son Maitre qui lui a utilisé ?

    N’est-ce pas que sans le Maitre, la houe ne peut rien faire d’elle-même ?
    Ce qui n’est pas le cas de son Maitre !

    Le piège du libre arbitre !


    Existe-il seulement une seule et unique houe dans le monde entier ?
    N’est-ce pas qu’il existe aussi de qualités aussi meilleures que cette houe-là ?

    Est-ce que la houe est-elle plus sage et intelligent que son Maitre pour lui montrer la bonne façon de travailler ?
    La houe a-t-elle de l’intelligence ?
    La houe est-elle sage ?

    La houe est-elle important ?
    Son importance dépend-t-elle d’elle-même ou de son maitre qui l’a choisi ?
    Qui donne l’importance à la houe : elle-même ou son Maitre ?
    Quel que soit son état (rouillée), qui peut la rendre utile ?
    N’est-il pas normal de jeter à la poubelle une houe déjà rouillée ?
    Pourquoi reprendre encore cette même houe ?

    Avec quoi utilisé pour exécuter le travail de ce champs ?
    N’est-ce pas avec la houe ?
    Grace à qui l’exécution du bon travail a été rendue possible ? Et par qui ?
    N’est-ce pas par la main du Maitre, par lui et grâce à elle seule ? Par le Maitre lui seul ?
    Alors, qui a travaillé et embelli le champ ? 
    N’est-ce pas le Maitre qui a travaillé et embelli le champ ?

    N’est-ce pas l’effort et le sacrifice du Maitre ?
    Toute exécution du travail fait par la houe déjà est l’effort et le sacrifice de Celui qui le tient dans sa main. Autrement, la houe n’aurait servi à rien du tout.

    Le travail dans les champs dépend du temps et de circonstance du Maitre de la moisson. Il dépend de la volonté du Maitre de la houe.

    La houe n’a pas de volonté ; sa volonté n’est rien d’autre l’expression de la décision qu’a prise son Maitre.

    Si l’entendement du Maitre ne s’exprime pas par son instrument, ce dernier devient inutile au Maitre de l’ouvrage. Quoi que belle ou chic, si elle ne plait plus au Maitre, il sera jeté à la poubelle.

    Mais si l’instrument n’est pas approprié normalement ou propre, démodé ou fragile ; mais peut servir bien le Maitre et exprimer sa volonté, cet instrument est alors utile.

    La houe exécute ce que son Maitre veut par sa main.
    Elle ne peut rien faire de plus ou de moins.

    La fierté du bon travail accomplie avec cette houe revient totalement au Maitre du champ.

    Avez-vous vu un homme félicité la houe de Son Ami puisqu’elle a été utilisée pour le travail ? Travail qui lui est destiné ?
    Il peut toujours jeter un coup d’œil sur les instruments, ou la houe utilisée pour le travail en disant : « ça va ! »
    Il louera le Maitre.

    Mais il ne peut donner la gloire et ce mérite à la houe, ou l’arrosoir, ou la planche ; l’honneur qui ne revient qu’au Maitre.

    Après que le travail ait pris fin, le Maitre décidera de le remettre dans la maison, parmi tant d’autres instruments qui ont été remarqué et ce qui n’ont pas été remarqué.

    Ainsi, le champ appartient au maitre ;
    La houe également ;
    Le travail du champ est exécuté par la force et le sacrifice du Maitre ;
    Les mérites et l’honneur de l’ouvrage sont au Maitre ;
    La moisson récoltée est aussi au Maitre ;
    Tout est au Maitre.

    Que celui qui a la compréhension de l’Esprit comprenne !
    Que celui qui a des oreilles entende. 

    Grace, gloire et toute puissance à Dieu notre Seigneur et à Jésus-Christ notre Sauveur, dans le temps et pour l’éternité !
    Amen.

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